Trois semaines de printemps

Titre : Trois semaines de printemps

Auteur/Autrice : Maude Roberto

Maison d’édition : Nouvelle adresse

ISBN :9782925370031

Public cible : Adulte

Genre : BD

Mots-clés : Ghoster, séparation

Libraire : Maude

Résumé :

Il n’est pas toujours facile de se lancer dans une nouvelle relation amoureuse. Encore moins lorsque la précédente a été empreinte de toxicité. C’est ce que vit Martha, qui a l’étrange impression de commencer une autre histoire où elle n’est pas vraiment respectée. Le manque de confiance l’habite et le doute se met de la partie. Réussira-t-elle à s’écouter et à finalement se respecter?

Titre : Trois semaines de printemps

Auteur/Autrice : Maude Roberto

Maison d’édition : Nouvelle adresse

ISBN :9782925370031

Public cible : Adulte

Genre : BD

Mots-clés : Ghoster, séparation

Libraire : Maude

Résumé :

Il n’est pas toujours facile de se lancer dans une nouvelle relation amoureuse. Encore moins lorsque la précédente a été empreinte de toxicité. C’est ce que vit Martha, qui a l’étrange impression de commencer une autre histoire où elle n’est pas vraiment respectée. Le manque de confiance l’habite et le doute se met de la partie. Réussira-t-elle à s’écouter et à finalement se respecter?

Appréciation :

Dès le premier regard, les illustrations m’ont immédiatement captivée. Le crayon, à la fois précis et délicat, créait une histoire pleine de nuances. Dans cette bande dessinée, nous suivons le déboire amoureux de Martha avec Alex. Une jeune femme qui, au cours d’une soirée bien arrosée, se connecte avec Alex, un personnage représenté par un visage canin. Au fil de notre lecture, une question persiste : celle de la représentativité des animaux en lien avec leur sexe, leur personnalité et leurs valeurs. Que reflètent nos référents individuels face aux différentes espèces animales ? Une question à laquelle il est impossible de répondre aujourd’hui, mais qui nous trotte dans la tête tout au long de notre lecture.

Le titre de l’œuvre décrit parfaitement l’intrigue, et l’on se prend rapidement à se retrouver dans la tête de Martha. J’ai particulièrement apprécié que les illustrations restent dans des teintes de gris, subtilement nuancées. Cela correspond parfaitement aux ressentis et aux émotions vécues par le personnage, que ce soit l’exaspération provoquée par ses ami.e.s ou la frustration de se faire « ghoster ». Les nuances de gris traduisent magnifiquement l’incertitude des relations, lorsque la communication fait défaut. Cette œuvre offre une belle représentation du jeu du dating d’aujourd’hui et des conséquences de cette quête permanente, notamment à travers les applications de rencontre.

C’est un livre à offrir à ton ami.e qui idéalise l’amour, mais aussi à lire pour se forger sa propre opinion.

Je serais curieuse de découvrir une version du récit avec un regard masculin ! La peine de cœur, souvent abordée du point de vue féminin, est un thème bien plus rare chez les hommes – mais peut-être est-ce simplement moi qui lis davantage d’autrices que d’auteurs.

Appréciation :

Dès le premier regard, les illustrations m’ont immédiatement captivée. Le crayon, à la fois précis et délicat, créait une histoire pleine de nuances. Dans cette bande dessinée, nous suivons le déboire amoureux de Martha avec Alex. Une jeune femme qui, au cours d’une soirée bien arrosée, se connecte avec Alex, un personnage représenté par un visage canin. Au fil de notre lecture, une question persiste : celle de la représentativité des animaux en lien avec leur sexe, leur personnalité et leurs valeurs. Que reflètent nos référents individuels face aux différentes espèces animales ? Une question à laquelle il est impossible de répondre aujourd’hui, mais qui nous trotte dans la tête tout au long de notre lecture.

Le titre de l’œuvre décrit parfaitement l’intrigue, et l’on se prend rapidement à se retrouver dans la tête de Martha. J’ai particulièrement apprécié que les illustrations restent dans des teintes de gris, subtilement nuancées. Cela correspond parfaitement aux ressentis et aux émotions vécues par le personnage, que ce soit l’exaspération provoquée par ses ami.e.s ou la frustration de se faire « ghoster ». Les nuances de gris traduisent magnifiquement l’incertitude des relations, lorsque la communication fait défaut. Cette œuvre offre une belle représentation du jeu du dating d’aujourd’hui et des conséquences de cette quête permanente, notamment à travers les applications de rencontre.

C’est un livre à offrir à ton ami.e qui idéalise l’amour, mais aussi à lire pour se forger sa propre opinion.

Je serais curieuse de découvrir une version du récit avec un regard masculin ! La peine de cœur, souvent abordée du point de vue féminin, est un thème bien plus rare chez les hommes – mais peut-être est-ce simplement moi qui lis davantage d’autrices que d’auteurs.

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